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80's Vecchiali

328 min
Location 14 jours 8,00 €

Le cinéma d’auteur français aurait-il laissé passer l’un de ses talents les plus populaires ?

80's Vecchiali

Il est grand temps que cette oeuvre ayant suscité autant de désir de cinéma retrouve une place qu’elle n’a jamais assez longtemps occupée.

En haut des marches

de Paul Vecchiali

  • Drame
  • Histoire

Françoise revient à Toulon, sa ville, après vingt ans d’absence… pour tuer. Qui veut-elle tuer ? Ces gens - des parents - qui occupent sa maison, une villa qu’elle avait fait construire au prix de lourds sacrifices. Pourquoi veut-elle tuer ? Parce que ces gens ont dénoncé, croit-elle, son mari...

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Rosa la rose, fille publique

de Paul Vecchiali

  • Drame
  • Amour

Rosa est belle comme un soleil, d’une beauté qui éclabousse les malfrats comme les clients biberonnés à son énergie. Sa vie est bien rôdée, entre les jaloux qu’elle convainc de faire l’amour ensemble et les consœurs loyales envers et contre tout, les fourrures pour jouer à la dame et les « Et attention au sida ! » qu’elle lance avec nonchalance. Un jour, un jeune homme surgit et lui inspire un amour en forme de chamboule-tout. Son univers s’écroule, son insouciance aussi : elle mesure pour la première fois que la liberté a un prix.

Once More (Encore)

de Paul Vecchiali

  • Drame
  • Amour

Possession, prédation, simulation, contamination, humiliation, inceste : les rapports que Louis entretient avec sa femme, sa fille et ses amants dessinent une cartographie du désir dans ce qu’il a de plus quotidiennement toxique, de plus banalement destructeur, de plus précocement intégré. Le salut est-il à chercher dans la clandestinité, la nuit, l’invisible ? Quoi qu’il advienne dans ces marges que Louis explore comme des îles secrètes, là où la mort est une menace permanente, la vie surgit comme un cri.

Le café des Jules

de Paul Vecchiali

  • Drame
  • Sexualité

Dans un café triste d’une banlieue grise, trois hommes se trompent de colère, en chœur. Ils fanfaronnent et s’invectivent, roulent des mécaniques et se provoquent, enfilent des perles de haine envers tous ceux qui ne leur ressemblent pas. Ils s’en prennent finalement à un homme échoué là, qui s’enfuit, et à une femme trop libre à leur goût, qu’ils violent. La banalité du mal, des mâles, faite de haine de soi et d’insécurité jamais assumée, laisse leurs victimes impuissantes, épuisées.