Un meunier vend sa fille au diable contre une pluie d’or aussi brillant que sale. « Tu as souhaité être riche, comment voudrais-tu être en paix ? » lui demande le diable, qui exige aussi de lui qu’il coupe les mains de sa propre fille. « Je t’ai tendu mes mains pour que tu les tiennes et les protèges » s’exclame celle-ci, incrédule, après que son père s’est exécuté. Elle s’enfuit. Et tout file, les traits comme le sang, les taches comme les ombres, les yeux comme les joies.